Ce « jeu sérieux » permet aux apprenants d’évoluer de manière totalement libre dans un environnement en 3D reproduisant un environnement réel: l’utilisateur est immergé dans la scène comme si la caméra était placée à la hauteur de ses yeux. OSIRIS permet de réaliser cartographies, évaluation prévisionnelle de dose, optimisation de la démarche ALARA, zonage opérationnel, suivi de la dosimétrie individuelle et collective…
Ce module de formation peut compléter ou remplacer une partie des formations actuelles en apportant l’approche nouvelle de la réalité virtuelle et vous apporte un module supplémentaire intéressant au moment où la législation allonge les durées de formation des PCR
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Concrètement, cet outil unique en son genre permet aux ingénieurs d’importer la maquette en 3D de la centrale, de la modéliser, l’habiller. Ils peuvent ensuite se déplacer virtuellement dans la maquette à l’aide d’un avatar. Ce dernier peut assainir, découper, démanteler, décontaminer, contrôler.
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Une nouvelle découverte qui fait froid dans le dos en provenance du site tristement célèbre de Tchernobyl. Près de trente ans après cette catastrophe nucléaire, l’une des plus grosses de l’histoire avec Fukushima, des chercheurs ont constaté que «les arbres morts, les plantes et les feuilles sur le site contaminé ne se décomposent pas à la même vitesse» que les plantes poussant ailleurs dans le monde, résume NBC.
Publiés dans le journal Oecologia, ces résultats prouvent que l’ensemble des êtres vivants situés à proximité du funeste site ont été affectés par la radioactivité: humains, animaux, végétaux mais aussi insectes, microbes ou fungi, un champignon impliqué, à l’instar des insectes ou des microbes, dans le processus naturel de pourrissement de la matière.
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