Nucléaire Radioprotection et Internet

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20 septembre, 2010

Conférence « Arche de Tchernobyl : la sécurité avant tout »

Classé dans : Info — deedoff @ 20:54

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Je vous signale cette conférence qui se tiendra lundi prochain 27 septembre, 18:30, au 9bis avenue d’Iéna à Paris sur le sujet de l’installation de la voute qui va surplomber le sarcophage.

N° manifestation : 330
Date : 27/09/10 18:30
Adresse : Hôtel d’Iéna : 9 bis avenue d’Iéna, 75016 PARIS
Programme : Arche de Tchernobyl : la sécurité avant tout Comment bâtir une arche de confinement du sarcophage construit en 1986, juste après l’explosion du réacteur de Tchernobyl, en garantissant un niveau maximal de sécurité des équipes ? C’est à cette question que répondront Thomas Chauveau, président de Bouygues Construction Services Nucléaires, Jean-Louis Le Mao, Operations Manager et Christophe Portenseigne, Engineering & Procurement Manager chez Novarka, la joint-venture formée par Vinci Construction Grands projets et Bouygues, le 27 septembre à la Maison des Arts et Métiers. Outre son rôle de confinement, l’arche métallique va permettre d’assurer le démantèlement du sarcophage actuel et celui des ruines du réacteur accidenté, au cours des 100 prochaines années. Hors normes de par ses dimensions, l’ouvrage entièrement bardé et étanche de plus de 20 000 tonnes mesurera 105 m de haut, 150 m de large et 257 m de portée. Représentant plus de trois fois le poids de la Tour Eiffel, il pourrait contenir la statue de la Liberté en hauteur ou le Stade de France. Aboutissement d’une démarche lancée il y a 18 ans, le projet mobilisera plus de 1 000 personnes en période de pointe fin 2010. Conçue comme un meccano géant selon une méthode garantissant une sécurité maximale, l’arche est construite à l’écart de l’ancien réacteur et sera ripée au-dessus du sarcophage existant. Elle est actuellement fondée sur deux longrines en béton et assemblée sur une zone provisoire afin de limiter l’exposition des équipes du chantier aux rayons ionisants. La sécurité des équipes en effet est au cœur du projet : examens médicaux étendus lors du recrutement, formation aux interventions en milieu ionisant, exercices d’évacuation, contrôles permanent de la qualité de l’air et suivi dosimétrique individuel très strict rythment la vie du chantier. Le transfert de l’arche au-dessus du sarcophage est prévu pour la fin 2011.
Détails :
Site web :
Groupe organisateur : GP 12 NUCLÉAIRE
Co-organisateur : GP 28 Batiment et Travaux Publics
Intervenants : Thomas CHAUVEAU Président Bouygues Construction SERVICES NUCLEAIRES et Jean-Louis LE MAO (VINCI)
Contact :
Conditions d’inscription :
Participation aux frais :
- Tarif Conférence : 12.00€
- Tarif Conférence + Repas : 45.00€
- Gratuitée Eleves – Professeurs

-> S’inscrire en ligne, ici.

Source (pseudo « Krolik »)

L’ASN engage la revue des options de sûreté du nouveau réacteur ATMEA 1 développé par la coentreprise d’AREVA et Mitsubishi Heavy Industries (MHI)

Classé dans : Info — deedoff @ 14:24

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Plusieurs pays dans le monde envisagent la construction de nouvelles centrales nucléaires. Dans ce contexte, la société ATMEA, coentreprise formée par l’industriel français AREVA et l’industriel japonais Mitsubishi Heavy Industries (MHI), a sollicité l’ASN afin de réaliser une revue des options de sûreté[1] d’un nouveau réacteur à eau sous pression dénommé ATMEA 1. Ce réacteur de moyenne puissance (1100 MWe) est, selon ATMEA, destiné principalement à l’exportation.

L’ASN a répondu favorablement à la demande d’ATMEA et a signé une convention qui encadre cette revue.

L’objectif de cette revue des options de sûreté, réalisée avec l’appui de l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN), est d’évaluer si les options de sûreté sont conformes à la réglementation française. Entamée depuis cet été, elle est menée dans les mêmes conditions que pour une installation nucléaire de base ayant vocation à être construite en France. Au cours de l’examen technique, l’ASN consultera le Groupe permanent d’experts pour les réacteurs placé auprès d’elle. L’ASN rendra publiques les conclusions de cet examen à l’automne 2011.

Cette revue permettra également à l’ASN d’assister, le cas échéant, les autorités de sûreté des pays où serait construit ce réacteur.

L’ASN s’implique fortement dans le contrôle de la sûreté nucléaire et de la radioprotection au niveau international. Elle partage son expérience avec ses homologues avec pour objectifs de contribuer au renforcement de la sûreté et de la radioprotection dans le monde et de promouvoir le haut niveau de sûreté qu’elle exige en France.

Ainsi, pour les nouveaux réacteurs, l’ASN soutient et partage pleinement l’initiative de WENRA[2] pour la définition d’objectifs de sûreté accrus par rapport à ceux des réacteurs actuellement en exploitation.

 

[1] Le dossier d’options de sûreté, élaboré par un industriel, permet de présenter à l’ASN les principales caractéristiques et choix de conception générale retenus en termes de sûreté. Ce dossier, établi au stade des études d’avant-projet du réacteur, présente notamment :

  • les objectifs de sûreté du réacteur ;
  • l’approche de sûreté utilisée pour sa conception ;
  • la description générale du réacteur, des procédés et systèmes mis en œuvre ;
  • les conditions de fonctionnement envisagées ainsi que des paramètres clés de l’installation ;
  • les accidents et agressions pris en compte à la conception et les méthodes de traitement de ces situations.

[2] WENRA regroupe les Autorités de sûreté des pays de l’Union européenne produisant de l’électricité d’origine nucléaire et de la Suisse. Les pays de l’UE ne produisant pas d’électricité d’origine nucléaire participent à ce groupe en tant qu’observateurs. Le président de l’ASN, André-Claude Lacoste, est à l’origine de la création de cette association dont il a été le premier président.

 

Source
 

 

Voyage au centre de la terre, dans le cimetière du nucléaire militaire et civil

Classé dans : Info — deedoff @ 10:16

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Lorsque la France a fait le choix politique de privilégier le nucléaire dans les années 60, dans un but militaire d’abord, puis pour sa filière énergétique ensuite, elle n’a pas pris en compte les déchets qui en seraient issus. Aujourd’hui, ceux qui proviennent des centrales nucléaires, et considérés à haute activité, c’est-à-dire très dangereux et à vie longue, représentent 5 % du volume des déchets radioactifs français, l’équivalent de deux piscines olympiques. Mais ils concentrent 99 % de la radioactivité totale. Pour faire face à ce problème, l’État français s’est orienté vers la possibilité de les enterrer.

L’ascenseur commence sa descente dans un infernal bruit de ferraille. Il faut huit minutes pour arriver à 500 mètres de profondeur.

 

Voyage au centre de la terre… Et dans le futur cimetière du nucléaire, que les pouvoirs publics ont choisi de creuser sur le plateau désertique de Bure, petite commune située entre Meuse et Haute-Marne.

Cimetière, ou plutôt lieu de stockage. Car si la France travaille à résoudre sa problématique des déchets hautement radioactifs et à vie longue, ce n’est pas pour simplement s’en débarrasser – ça, c’était dans les années 60, quand on les jetait en pleine mer -, mais pour les gérer au mieux. Les études ont montré que l’entreposage en profondeur, dans un milieu géologique semblable à un coffre-fort, est la solution idéale pour ne pas laisser un héritage encombrant aux générations futures.

Dans les années 90, l’agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra) a ainsi sondé le sol français afin de déterminer le lieu qui présentait les conditions les plus favorables. De part l’histoire de son site nucléaire – l’un des premiers du pays -, Marcoule, dans le Gard, présentait le meilleur dossier. Avec comme atouts des recherches menées dans ses laboratoires sur cette problématique, et sa roche argileuse.

Mais les manifestations du monde viticole et les risques sismiques, même modérés, ont finalement conduit l’Andra à préférer Bure. C’est ainsi un véritable laboratoire qui s’est développé depuis dix ans, à 500 mètres sous terre. Laboratoire, car ce n’est qu’en 2025, après des années de recherches, et surtout un processus administratif strict (enquête publique, décision législative…), que les premiers colis radioactifs seront concrètement entreposés, à quelques encablures de là. Aujourd’hui, dans ce réseau de 700 mètres de galeries, des scientifiques mènent des centaines de recherches, sur la roche, l’eau qui la traverse ou sa dégradation au contact des radionucléides, éléments chargés de radioactivité.

Jacques Delay, directeur scientifique du site, connaît cette roche par cœur. « Le laboratoire a été implanté dans une couche d’argilite de plus de cent mètres d’épaisseur, qui s’est mise en place il y a 165 millions d’années et a peu évolué depuis, décrit-il. L’imperméabilité d’une roche, ça n’existe pas. Mais il faut des milliers d’années, pour qu’une goutte d’eau traverse l’argile… Et le déplacement des particules radioactives ne peut se faire que par l’eau », une fois qu’elles se seront dégagées des colis vitrifiés dans lesquelles elles sont piégées (lire ci-dessous), ce qui demande là encore beaucoup de temps. Stéphane Gin, chef du laboratoire du comportement à long terme au CEA Marcoule, en a fait la démonstration.

La roche peut toutefois subir des transformations, en raison de la forte température qui se dégage d’un produit radioactif. « L’argile perd ses propriétés à 150 degrés. Or, les colis seront descendus une fois qu’ils auront atteint la température de 90 degrés – il faut environ 60 ans pour cela – et ils seront espacés les uns des autres selon des calculs très précis. » Pour les affiner, des expériences sont conduites à l’aide de résistances électriques, insérées dans la roche.

En 2025, à la condition que les décrets d’autorisation aient été publiés en 2016, les premiers déchets nucléaires, qui reposent actuellement à Marcoule – les autres sont à La Hague et à Cadarache -, pourront être stockés. La phase d’exploitation durera environ un siècle, le site, lui aussi fait de galeries, devant atteindre une superficie de 15 km2. La loi impose que cette installation soit réversible pendant cent ans, afin de déplacer les colis si de meilleures solutions se présentent dans le futur. « Ce stockage est conçu pour évoluer d’une sûreté active à une sûreté totalement passive, où aucune action ne sera plus nécessaire », précise l’Andra.

Selon les estimations, les éléments entreposés à 500 mètres sous terre réapparaîtraient à la surface, 300 000 ans plus tard. Or, 100 000 ans seraient nécessaires pour effacer toute trace de radioactivité de ces déchets. L’homme du nucléaire fait confiance à la nature.

 

Source

Le conditionnement des déchets, conçu dans le Gard

Classé dans : Info — deedoff @ 10:14

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Si la France choisit de stocker ses déchets hautement radioactifs dans les entrailles de la terre, elle ne va pas les transporter par fûts, directement des centrales nucléaires au site de Bure. Les résidus seront d’abord conditionnés dans des colis, conçus selon la technologie dite de vitrification. En juin, la présidente d’Areva, Anne Lauvergeon, a inauguré une nouvelle chaîne de production sur le site de La Hague (Manche), conçue selon le principe de creuset froid.

C’est toutefois dans le Gard, sur le site de Marcoule, que les ingénieurs du CEA ont développé ce système qui permet, pour schématiser, de « piéger » les éléments hautement radioactifs, les radionucléides, dans du verre mis en fusion dans un creuset métallique. « Le verre ainsi obtenu est ensuite coulé dans un

Le conditionnement des déchets, conçu dans le Gard dans Info

cachePubVide(‘pubCarreEdit’); conteneur lui aussi métallique. Une fois solidifié, il constitue un matériau de confinement extrêmement efficace sur de très longues durées, compatible avec un stockage géologique », assure Philippe Pierrard, chef du département d’études du traitement et du conditionnement des déchets à Marcoule.

Le creuset froid fonctionne selon le principe de l’induction directe. Sa paroi est refroidie par un système de circulation d’eau. Il se forme alors une couche protectrice de verre figée qui protège le creuset métallique des effets des hautes températures, 1 200°, et de la corrosion due au bain de verre en fusion. « Cela permet de conditionner des solutions de rinçages d’anciennes installations et des produits de fission issus du traitement des combustibles de la première génération des centrales nucléaires », ajoute Roger Boen, chef du service de conditionnement des déchets et vitrification.

Le CEA Marcoule œuvre depuis les années 70 à la mise au point, puis au perfectionnement de la technologie de vitrification. Près de 100 personnes travaillent aujourd’hui sur le « creuset froid », des travaux réalisés « main dans la main entre le CEA et Areva », affirme Christian Bonnet, le directeur du site. Et pour cause. Cette technologie offre un avantage concurrentiel certain à Areva, sur le marché international de retraitement des déchets nucléaires.

Source

18 septembre, 2010

Physique quantique: un bilan mitigé

Classé dans : Info — deedoff @ 17:10

Un peu d’humour au milieu de ces choses sérieuses, ça ne fait pas de mal !

Conférence sur la physique quantique un peu particulière !

http://www.dailymotion.com/video/x8ncpx

Classement Wikio

Classé dans : Edito — deedoff @ 13:15

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Le blog « Nucléaire Radioprotection et Internet » vient d’entrer dans le classement Science de Wikio.

Pour le mois de septembre, il est placé en 162ème position !

Bagnols sur Céze: Areva continue à informer les riverains

Classé dans : Info — deedoff @ 10:22

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CONTEXTE : Une nouvelle vague d’affichage est programmée ainsi que différents rendez-vous

Trois mois après son lancement, la campagne d’information de proximité Areva vallée du Rhône est plus que jamais présente autour des sites Areva Tricastin, FBFC Romans, Areva Marcoule et Melox (Marcoule).
Forte de ces rencontres et de ces échanges avec plus d’un millier de riverains, la campagne d’information se poursuit et se renforce avec une nouvelle vague d’affichage.
Acteurs majeurs de la campagne d’information de proximité Areva vallée du Rhône, Serge, Lucy, Coralie, Jean et les autres témoins sont de retour dans les rues et dans les médias locaux tout le mois de septembre.
Les rendez-vous vont également s’intensifier à partir du mois de septembre. Le minibus, les ateliers scientifiques pour le jeune public et l’ensemble du dispositif seront ainsi présents sur les grands événements régionaux comme la course des 10 km de Romans, la foire de Bollène, la foire d’Orange, les fêtes de la science de Pierrelatte ou encore le Forum de l’emploi de Montélimar.
Parallèlement à ces rendez-vous et à la plate-forme téléphonique (0810 26 30 84), le site internet www.valleedurhone.areva.com permet aux internautes de découvrir les activités d’Areva dans la vallée du Rhône et l’ensemble des actions menées en faveur du développement économique, de l’environnement, du mécénat sportif ou encore de l’engagement d’Areva auprès des plus jeunes.
Pour mémoire, lancée en juin dernier, la campagne d’information de proximité Areva vallée du Rhône a pour objectif d’informer et d’échanger avec les riverains dans le cadre de la politique de dialogue et de concertation menée par le groupe Areva.
Elle permet de mieux faire connaître les activités d’Areva et ses engagements dans la vie économique, sociale et culturelle locale.

Source

Le nucléaire, une énergie « propre » ?

Classé dans : Info — deedoff @ 8:33

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Contrairement à ce qui est souvent dit, les centrales nucléaires, dans des conditions normales d’exploitation, produisent plus proprement que d’autres types de centrales ; ainsi, alors que la production d’un kWh nucléaire se traduit par le rejet de 25 g de gaz à effet de serre, la production du même kWh à partir de gaz dégage de 450 à 650 g; et à partir du charbon de 650 à 1250 g. Selon EDF, l’ensemble des réacteurs évite ainsi l’émission de 310 à 345 millions de tonnes de CO2 par an, d’où une « facture carbonique » divisée par deux en France.
Les émissions radioactives, sous forme gazeuse ou liquide, sont de plus généralement considérées comme minimales aux abords d’une centrale en fonctionnement normal. En termes de santé publique, il convient ainsi de reconnapitre que la charbon et le gaz sont nettement plus dangereux que le nucléaire : un décompte des décès lors des accidents industriels établit, en effet, qu’entre 1970 et 1992 le pétrole a provoqué environ 10 000 morts (en 295 accidents), le charbon 6 000 morts (en 88 accidents), l’hydroélectrique 4 000 morts (en 13 accidents), le gaz naturel 1 200 morts (en 88 accidents) et, enfin, le nucléaire 31 morts (à Tchernobyl). ces chiffres qui ne tiennent comptes que des décès consécutifs aux accidents, doivent cependant être majorés des effets à long terme ; en ce domaine, on estime que les rejets de Tchernobyl provoqueront 3 500 décès par cancer dans les cinquante ans à venir, et que la pollution insidieuse des centrales nucléaires françaises pourrait déclencher entre 10 et 100 cancers par an (à comparer aux 5 000 cancers induits par les examens radiologiques, et aux 6 000 à 7 000 provenant de la radioactivité naturelle).
Outre ces sources de pollution il conviendrait également de prendre en compte le stockage des déchets, dont les risques sur l’environnement immédiat et la santé des générations futures sont difficiles à évaluer.

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La radioactivité au menu des champignons

Classé dans : Info — deedoff @ 8:29

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Les champignons ne peuvent produire directement de l’énergie, comme le font, par exemple, les plantes. C’est du moins ce que l’on croyait jusqu’à la publication d’un article par une équipe de chercheurs du Albert Einstein College of Medicine, à New York. Selon cette étude, les champignons seraient capables de s’alimenter. Et leur diète n’est pas banale. Ils se nourrissent de radioactivité !

C’est en apprenant qu’un robot avait ramené des champignons noirs de l’intérieur du réacteur de Tchernobyl que la curiosité d’un des chercheurs a été piquée au vif. Au fil de ses recherches, il découvrit aussi que les eaux de refroidissement des centrales nucléaires étaient souvent contaminées par des moisissures noires. Il semblait qu’un pigment, la mélanine, était à la base de ce comportement exotique. Or, la fonction biologique de ce pigment chez les champignons était alors incomprise.

Pour en avoir le cœur net, les scientifiques exposèrent des champignons contenant de la mélanine à des radiations équivalentes à 500 fois le niveau naturel. Parallèlement, ils les ont privés d’autres sources de nourriture. Dans ces conditions, les variétés noires, contenant de la mélanine, poussèrent trois fois plus vite que les blanches !

Chez les humains, la mélanine est le pigment qui protège la peau contre les rayons ultraviolets. Selon les chercheurs, ce pigment aurait également la vertu de capturer l’énergie solaire. Si les aliments constituent la principale source d’énergie de l’Homme, le Soleil est un carburant à ne pas négliger. Cela constitue une raison supplémentaire de profiter – avec prudence – des rayons estivaux !

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Congrès national de radioprotection 21-23 juin 2011

Classé dans : Info — deedoff @ 7:45

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Renseignements :
Mme Janine Cervera
SFRP
BP 72
92263 Fontenay-aux-Roses Cedex
tél. : 01 58 35 72 85
télécopie : 01 58 35 83 59

e-mail : janine.cervera@irsn.fr
site Web : SFRP

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